Cash flow et immobilier : Quel est le rapport ?

Le cash est un ensemble de flux de trésorerie enregistrés par une entreprise ou un particulier. Combiner à l'immobilier le terme garde tout son sens, mais apportera beaucoup de lumière sur l'aspect financier du domaine. Il va permettre d'avoir une vision plus claire des investissements et retournement immobilier.

Cash flow en immobilier

Lors des investissements immobiliers, on ne peut pas en tant qu'acteur du secteur ne pas utiliser ni parler de cash flow. Prenons un exemple très clair pour montrer ce qu'est le cash flow. Lorsqu'à la fin du mois ou à la fin d'une transaction d'achat ou de vente de bien immobilier, vous payer tous les frais liés au bien, c'est-à-dire pour un particulier, le loyer, les charges liées au bien immobilier, l'impôt, etc, le reste de votre finance est ce que l'on appelle le cash flow. Ou plus clairement, l'excédent de trésorerie. Vous l'aurez donc compris, le cash flow est un élément important dans un investissement immobilier. Il vous permet d'avoir une prévision des intérêts liés à un investissement en mesurant les points forts et faibles du flux financier. Maîtriser le cash flow va permettre de rentabiliser vos investissements avec un risque de perte faible. Alors, il serait préférable pour l'investisseur et l'entrepreneur que vous êtes, d'en savoir plus sur le cash flow immobilier.

Les deux types de cash flow

Vous vous en doutez peut-être, car quand on parle d'investissement immobilier deux résultats s'offrent à nous en fin de compte, soit on rentabilise, soit on enregistre une perte. C'est en ça qu'il existe deux types de cash flow à savoir : le cash flow positif et le cash flow négatif.

Le cash flow positif

Il constitue la rentabilité de vos investissements. Il est caractérisé par une supériorité des entrées sur les sorties financières. Le cash flow positif est donc le but de tout investissement qui se veut rentable et prospère.

Le cash flow négatif

Contrairement au cash flow positif, le cash flow négatif est caractérisé par une supériorité des sorties sur les entrées. Dans ce cas, on ne parle plus d'investissement, mais plutôt de dépenses, car aucune rentabilité n'est enregistrée.